Yves Pasco s'en est allé
DÉCÈS. Nous apprenons avec une immense tristesse la disparition d’Yves Pasco, ce lundi matin, des suites d’une longue maladie des poumons aggravée par un récent cancer. Depuis plusieurs mois, ce militant politique et associatif infatigable était contraint de garder son domicile de Saint-Hilaire-Saint-Mesmin où ses nombreux amis lui rendaient visite. Il n’en sortait plus que pour des séances de chimiothérapie au CHR d’Orléans. D’Yves Pasco, les lecteurs de LibéOrléans conserveront le souvenir de réactions et commentaires enflammés, teintés d’humour et d’irrévérence. Sur ce même ton, il animait parallèlement un blog baptisé Les Parias de la République. Ses obsèques auront lieu le vendredi 27 août. Rendez-vous est donné à 9h30 au funérarium d'Olivet. Yves Pasco sera ensuite incinéré au crématorium de Saran. Nous présentons, à sa famille et à ses proches, nos condoléances les plus sincères.
Mourad Guichard
(Mise à jour avec mention de l'heure des obsèques)
> Son dernier commentaire, déposé lundi à 4 heures du matin, est ici



message depuis mon mobile au clavier anglais.
Circe,
vous avez ma benediction.
C est vrai qu'on ressent un vide sur ce site sans Yves Pasco.
Il en a marque les plus belles pages (pour ce que j'ai pu en voir en 8 mois de presence assidue). Meme si je ne le connaissais pas personnellement, et meme si je pense qu'il n'etait pas croyant, je dis paix a son ame.
Abdel ben dit kenjo
s: je n'ai pas pour autant change mes idees, j'attends l'article polemique que MG peine a trouver en ce moment., on est tous contre sarko,، tous pour garder la retraite a 60 ans, tous contre xav et rouletacoss,....
Rédigé par : abdel ben | 07/09/2010 à 23:52
Avant même de reprendre la moindre activité sur mon blog, je viens avec retard à manifester la tristesse qui m'étreint à cette nouvelle de la disparition de Yves Pasco....
Nous ne partagions sans doute pas les mêmes idées ni les mêmes idéaux, mais de longues conversations téléphoniques m'auront permis de saisir la force de cet homme qui au travers des mots savait faire passer ce qui finalement émanait de sa sensibilité et de son coeur.....En tout cas la force de son engagement, sa sincérité aussi étaient admirables et méritaient bien plus que du respect....
A présent le temps peut continuer à s'égrener, sa voix , ses colères mais aussi ses élans nous manqueront....Adieu Yves, nous ne t'oublierons pas....On t'aimait bien...Tu sais!
Rédigé par : jean paul morat | 04/09/2010 à 02:55
Pour information, j'ai repris certaines des réactions et hommages rendus ici et ailleurs pour les mettre en hommage à Yves Pasco sur le site du Parti Communiste.
N'ayant pas toutes les adresses mail des un-e-s ou des autres, je me permets donc de mettre un message ici afin que vous puissiez me dire votre opposition éventuelle à la diffusion de votre message sur le site du PCF.
Je pense notamment à :
- Fansolo,
- Rémi Pernette,
- Yves Bodard,
- Stéphane ( net en feu )
et en particulier vous Abdel Ben dont je n'ai aucune coordonnée.
Il vous suffit de m'adresser un mail à [email protected] et le message sera effacé si vous ne souhaitiez pas qu'il apparaisse sur notre site.
Ceux qui m'ont déjà répondu favorablement ne sont pas dans la liste précédente.
Merci.
Dominique Tripet
Secrétaire de la section d'Orléans du PCF.
Rédigé par : Circé Zatstrouffette à qui Yves Pasco manque beaucoup | 01/09/2010 à 20:39
Merci à vous, ses amis/ies blogueurs, blagueurs, jardiniers... pour votre présence vendredi, pour avoir accompagné mon oncle pour son tout dernier bout de route.
Armelle - sa nièce -
Rédigé par : Armelle | 28/08/2010 à 12:54
Derniérement,j'ai appris par une collégue de travail que Monsieur Yves Pasco était décedé.C'est une triste nouvelle.Je transmets à toute la famille mes sincéres condoléances et partage votre peine.Bon courage à vous. Claude GUILLEMINOT
Rédigé par : claude | 27/08/2010 à 17:50
Écrire...
Écrire pour le militant,
Écrire pour le camarade d'action et de conviction.
Écrire pour l'ami...Je n'en ai pas envie.
Je repousse cet inacceptable moment, redouté et redoutable...
Cet instant qui va concrétiser en le consignant, l'insupportable et cruelle réalité.
Je ne pourrai plus alors éluder et refuser, mais devrai me résigner et accepter...
Je vais devoir parler de lui au passé.
Cependant, parler de lui au passé, c'est laisser surgir l'affreuse possibilité de sa définitive absence.
Parler de lui au passé, c'est ne plus découvrir ses commentaires, objurgations et littéraires tribulations sur le site de Libé.
Drolatiques, caustiques et même satiriques, le cynisme dont ses propos étaient parfois empreints n'étaient pas de son fait.
Mais plus surement de ceux (les faits) qu'ils dénonçaient, fustigeaient...
Le cynisme de ce gouvernement, de ses tenants, dont les représentants de notre ville en sont de dignes figurants !
Parler de lui au passé, c'est déclarer son humour à jamais tari et asséché.
Parler de lui au passé, c'est ne plus découvrir chaque matin ma boîte mail, de ses nombreux messages, encombrée et surchargée.
Mon oiseau de Nuit comme je l'appelais, avait œuvré. Et cruellement, il va me manquer.
Dormant peu chaque nuit, sans relâche les informations, mon veilleur-guetteur cherchait, trouvait, disséquait...Et relayait .
Amorçant, débats, rassemblements et même groupements de citoyens qu'il voulait sentinelles veillant au grain devant les ravages de la bête immonde qui étend sa présence de son abominable et nauséabond manteau vert de gris sur notre si beau pays qu'était la France !
Parler de lui au passé, c'est aussi ne plus voir sur son blog les parias de la république de nouveaux billets.
Ne plus y découvrir ses nombreux poèmes.
Ni ceux qu'il adressait comme bouteille à la mer aux ami-e-s dans le besoin ou le chagrin.
Des mots qui versifiaient, chantaient, légers comme douce mélopée.
Ou bien des sentiments lourds de sens, poignants et éprouvants.
Cependant ces vers rimaient comme au revoir ces derniers temps.
Résonnaient comme clin d'œil avant que de s'inscrire aux abonnés absents.
De la grande faucheuse, la fossoyeuse à n'en pas douter, il serait le prochain amant.
Clouer au lit de par la maladie.
Militant debout, clavier en main jusqu'au bout ...
Parler de lui au passé, ...
Je lis son dernier billet, et j'y apprends qu'ils seraient en pleurs ces jeunes UMP...Pourtant, je n'ai, nous n'avons, ses camarades et amis, aujourd'hui rien à leur envier ! Et le bougre, cela le ferait bien marrer...
Encore que le connaissant, sa petite larme il aurait versé, pour tant de chagrin nous avoir fait.
Parler de lui au passé, comment, moi, sa " Secrétaire de Section préférée ", ainsi qu'il m'appelait, vais-je pouvoir l'accepter ?
Pourtant, de mes luttes féministes au début, il lui arrivait souvent de se gausser. Des mots socialisme et communisme, lui semblaient venir pour elles (les femmes ) toutes solutions.
Alors fleurissaient comme coquelicots et bleuets : discussions, désaccords, empoignades et joutes verbales se finissant en engueulades...
Pour finir, du long chemin à parcourir pour les femmes avant qu'elles n'obtiennent justice et réelle égalité en tout et pour tout en cette société, il avait fini par reconnaître réalité.
Parler de lui au passé...
Mais je ne le peux pas, je ne le veux pas...
Madame la Mort, laissez le moi jusqu'à vendredi ,
Qu'avec mon camarade, mon ami je ris encore.
Madame la Mort, laissez le moi jusqu'à vendredi,
Qu'avec mon camarade, mon ami je me querelle encore.
Madame la Mort, laissez le moi jusqu'à vendredi,
Qu'avec mon camarade, mon ami comme toujours nous trouvions accord.
Madame la Mort, laissez le moi jusqu'à vendredi,
Pour qu'enfin avec mon camarade,mon ami, nous chantions l'avènement de cette société d'équité, de justice, de solidarité et de partage, que nous appelons tant de nos vœux, luttes, convictions et actions, loin des chantres enténébrés et mensongers du grand capital meurtrier de toute Humanité....
Pour cela il a œuvré,
C'est ce combat qui nous a uni.
Madame la Mort ? Je vous maudis !
Rédigé par : Circé | 27/08/2010 à 02:04
Revenu tard de vacances, je n'ai rien à ajouter aux commentaires profonds de ceux qui l'ont connu physiquement ou virtuellement.
Pour moi Yves était un aiguillon, parfois un caillou dans la chaussure, mais en tous cas un œil intéressant sur notre société.
Va en paix, camarade...
Rédigé par : Astringues | 27/08/2010 à 00:46
suite aux demandes recues voici les adresses du funérarium 198 rue Flandres Dunkerques à Olivet et du crématorium 1251 rue Pimelin à Saran
Rédigé par : Mikael, Venaig, Maiwenn, Elouan (ses enfants) | 26/08/2010 à 20:18
Très touchés par vos marques de compassion et de sympathie, dans le deuil qui nous frappe, nous remercions chaleureusement tous ceux qui se sont exprimés.
Pour ceux qui le souhaitent vendredi
9H30 moment de recueillement au funérarium d'Olivet
10H30 cérémonie au crématorium de Saran
14H30 dépot de l'urne au cimetière de St Hilaire
Encore un grand merci à vous.
Mikaël, Venaïg, Maïwenn, Elouan (ses enfants)
Rédigé par : Mikael, Venaig, Maiwenn, Elouan (ses enfants) | 26/08/2010 à 17:28
Yves.
Chez toi, l'accueil.
Et puis la bonne humeur.
Et puis la surprise aussi, quand tu découvres qui je suis.
Et puis les bouteilles d'air pur, les tuyaux qui jonchent le sol et sur lesquels nous ne devons pas marcher, bien sûr.
Ces tuyaux dont la longueur te permet de te déplacer sans avoir à trimbaler l'oxygène en plus.
Comme si marcher n'était pas, déjà, assez fatigant.
Mais ces tuyaux, quand toi, notre ami, tu respires, on les oublie.
Parce qu'on t'écoute pour ce que tu dis, parce qu'on te regarde rire pour ce qui est drôle, te concentrer pour ce qui le nécessite, te fâcher pour ce qui, vraiment, t'est insupportable.
C'est toujours la sincérité qui t'emporte et qui l'emporte sur le reste.
On te découvre sans te découvrir, on devine sans tout cerner, on se doute au fil des discussions, des mails, des gestes d'amitié et des messages demandant des nouvelles...
Une vie trop courte et complexe, difficile, et pourtant ce qui émane de toi, c'est avant tout de l'humanité. Beaucoup d'humanité. Tant d'humanité que tu en débordes.
Même quand tu n'as rien, tu donnes tout à ceux qui ont encore moins.
C'est peut-être pour ça que les amis sont restés. Parce qu'on peut te prendre comme tu es. Parce que tes qualités sont si grandes qu'il est plus facile d'accepter tes défauts.
Yves Pasco.
C'est toi qui a rebondi sur une remarque anodine pour nous transformer en Zatstrouffs.
"Qu'est-ce que tu viens de dire là ? Comment tu l'écris ?"
Nous en avons ri, nous trouvions cela très compliqué, et pourtant... c'est resté.
Par défaut, ou par affection pour ce terme qui, finalement, nous définit bien.
Toi qui fait figure de patriarche, et nous, électrons libres, nous sommes des Zatstrouffards.
Haut les coeurs, et poing levé, chacun à notre façon.
Prêts à défendre ce en quoi nous croyons, prêts à résister contre l'insupportable.
Complexes, entiers, humains.
Lundi matin, tu n'as pas cessé de lutter. Tu t'es mis au repos. Sachant sûrement que nous étions derrière toi.
Nous sommes là.
Bien à toi,
Polyb.
Rédigé par : Polyb | 26/08/2010 à 01:10
Un GRAND MERCI à tous ceux qui ont (ou qui vont) déposé un message de condoléances, de sympathie envers Yves
Patrick Pasco (le frère)
Rédigé par : Patrick Pasco | 25/08/2010 à 21:15
Condoléances à la famille d'Yves et à toute la famille progressiste qui perd l'un des siens. Mais si Yves est parti, car il faut bien partir un jour, il nous restera de lui le sens du combat, de l'engagement et de la conviction. J'ajouterai sa poésie, son sens inégalé de la répartie et sa drôlerie. Un grand bonhomme est passé...
Rédigé par : L'échotier | 25/08/2010 à 16:52
RESPECT MONSIEUR MERCI DE VOTRE SOUTIEN AUX ORATORIENS
BON VENT ON SE RETROUVERA UN JOUR..........
Rédigé par : PATRIOTE | 25/08/2010 à 11:30
totes mes condolences a la famille d'Yves pasco
Rédigé par : eloie | 25/08/2010 à 09:49
Yves : Molière des blogueurs.
Une mémoire qui n'accepte pas les flagorneries d'usage.
La légende veut que Molière ait joué le malade imaginaire jusqu'à en mourir sur la scène même de ses exploits. Notre ami Yves, a cédé à la camarde, la vie et la colère encore présentes sur son clavier d'orage et de rage.
Si le crabe rongeait ce grand rebelle, cet exalté des nobles causes, ce militant communiste dans l'âme, c'est la colère, l'indignation et la honte devant les soubresauts de notre époque qui ont eu raison de son opiniâtreté. Les affreux, les méchants, les vils vont se réjouir, ils n'auront plus face à eux cette voix qui se dresse au nom de la dignité, de l'humanité, de la grandeur humaine.
Poète, bretteur, pourfendeur, débatteur, commentateur, dénonciateur, accusateur, défenseur. Il endossa tour à tour ces rôles avec une constance qui rebutait ses ennemis idéologiques. Ennemi, le mot n'est pas trop fort, à l'heure inévitable des éloges de circonstance, Yves avait en réserve une superbe collection d'exécrations tenaces, de rancunes définitives et d'impossibilité de communiquer.
Quand l'égoïsme, quand la cupidité, quand la malhonnêteté, quand le mensonge gouvernent les propos et les actions d'individus, le bouillonnant militant ne pouvait plus se maîtriser. Si le souffle venait à lui manquer, rien pourtant ne l'empêchait de cracher son indignation à la face de nos hypocrites qui aujourd'hui s'inclinent devant sa mémoire.
La nature même du combat politique et associatif qu'il a mené, la pente prise hélas par le débat idéologique dans ce pays aux mains des puissances du mal et de l'argent interdisent une paix des braves, une trêve désarmée autour de sa mémoire.
C'est au nom de ce souffle vital qui perdurera à jamais dans ses écrits qu'il faut déclarer sans ambages que c'est un combattant qui est tombé au champ de l'honneur des humbles, des opprimés, des répudiés, des proscrits, des damnés de l'alter Lui-même avait intitulé son site : les parias de la république.
C'est les larmes à la main qu'il a cédé sous les coups de la terrible maladie mais jamais il n'aurait baissé pavillon face à ces gens qui déshonorent notre Nation, souillent la République et ternissent à jamais l'image de la France dans le Monde.
Il est possible et sans doute certain qu'Yves n'ait pas eu raison en toutes circonstances. Il s'est trompé, il s'est parfois fourvoyé mais il n'a jamais succombé aux monstruosités qui sont de mise dans une frange du camp qu'il a combattu jusqu'à son dernier souffle.
Alors, pour honorer sa mémoire j'aurais aimé que tous ces sinistres individus, adorateurs du Prince qui nous gouverne, justificateurs de l'infâme politique ségrégationniste eussent la dignité de s'effacer et de ne point salir l'hommage que ses amis sincères et ses adversaires honorables ont besoin de lui adresser ici.
Que pour une fois, une fois seulement, ils aient une once de dignité et se taisent pour ne pas ajouter l'hypocrisie à leur fardeau si lourd.
J'espère Yves que je n'ai pas trahi ta pensée et je me permets d'ajouter à ce petit commentaire inhabituel en pareille circonstance, un joli coup de pied à l'arrière-train de ces malfaisants qui t'ont si souvent empoisonné l'existence, rien que pour te faire sourire une dernière fois.
Irrévérencieusement tien.
Rédigé par : Achille zatstrrouffard | 25/08/2010 à 07:55
Salut mon vieux Yves !
Je vais pour une fois essayer de faire un effort pour éviter que tu ne corriges mes fautes comme tu en avais pris l’habitude ; pour une fois, je vais mettre des majuscules et la ponctuation.
Tu as fini par casser ta pipe quand même alors que nous avions encore pleins de projets en cours. Comme par exemple celui d’essayer de faire pousser des fleurs dans ton jardin.
Ou celui de se faire une petite bouffe bien arrosée comme nous l’aimions de temps en temps.
C’est dans ces occasions que nous échangions nos points de vue et que nous révisions et précisions l’un et l’autre nos perceptions.
Mais c’est toi qui as raison, il est de plus en plus difficile de respirer, l’atmosphère devient nauséabonde, des vieux relents d’intolérance remontent à la surface, dans ces conditions…
N’empêche que tu vas nous manquer !
Rédigé par : rémi pernette | 24/08/2010 à 21:35
Toutes et tous tes ami-es seront là Yves pour prouver aux vivant-es que la vie est celle que l'on construit chaque jour sans se laisser mener par le bout du nez.
Vendredi 27 est un rendez-vous plein de larmes et de gorge sérrée.
J'espère que les ami-es pourront parler, car je n'en suis pas capable.
Ce sera un à se revoir, car nous finirons bien par mourir un jour.
Yves n'est pas mort il est dans notre coeur.
Monique Lemoine
Rédigé par : Monique LEMOINE | 24/08/2010 à 21:17
Adieu, mon très chèr camarade Yves,ton abscence sera douloureuse pour beaucoup d'entre nous. Je garderai tous les messages, les pöemes qu'il m'envoyai, toutes ses jolies cartes animées et tous ses
commentaires sur notre actualité. J'ai eu l'occasion durand plusieurs années de me trouvée à ses côtés dans de nombreuses manifestations, rassemblements, luttes contre toutes les injustices, la santé pour laquelle il se battai en y meetant tout son ceur tous ses efforts. Grand homme de coeur
et d'humanité, tu restera toujours auprès de nous dans notre coeur et nos pensées.
Toutes mes condoléances et mes profonds regrets à sa famille, ses proches et tous ceux qu'ils l'entouraient.
Rédigé par : NGANGA Marie-denise Conseillère Municipale PCF Orléans | 24/08/2010 à 19:28
Adieu Monsieur Yves, toute ma compassion à ses proches, à ses lecteurs, à ses contradicteurs.
Respect à ce grand blogueur poète et engagé.
Daniel Gazeau
Rédigé par : Daniel Gazeau | 24/08/2010 à 16:22
Mes plus sincères condoléances à une personnalité emblématique de la ville. Yves je ne vous connaissez pas, mais vous allez manquer , des comme vous on en fait malheureusement plus. Paix à son âme.
Rédigé par : Lame de fond | 24/08/2010 à 16:03
Adieu Monsieur Yves
Commentateur assidu et passionné de nos modestes blogs, Monsieur Pasco laisse comme un vide assourdissant.
Militant acharné et sincère de la cause des femmes et des hommes du peuple, nous ne devrons pas oublier sa mémoire, lorsque nos combats communs aboutiront enfin ...
Adieu Monsieur Yves
Et un grand Merci
Rédigé par : Openlasource | 24/08/2010 à 11:31
Yves,mon frère de joute.
Nous avons passé la matinée du 20 Août ensemble à l'hôpital où je t'avais rendu visite et nous avions parlé de lendemains qui chanteraient enfin car l'actualité récente faite d'exclusion et de stigmatisation nous révoltaient.
Tu étais faible à l'extérieur et encore fort à l'intérieur malgré le mal qui te rongeait.
Tu m'as confié récemment quelques textes et un hommage à Caleb,que tu écrivais le plus souvent sur ton lit d'hôpital et que je t'avais demandés puisque je suis en projet d'écriture sur les "sans" et le témoignage des "zatstrouff" dont tu fais partie à jamais y sera en bonne place.
Tu m'avais aussi demandé si je connaissais un éditeur pour publier tes poèmes qui étaient d'une rare profondeur et que je vous invite tous à retrouver sur le blog:"les parias de la république".
L'appel est lancé!
Je suis triste et abattu mais je sais que tu aurais voulu que je ne baisse pas les bras.
Tu vas nous manquer!
Une pensée affectueuse à ses proches!
L'autre Yves comme tu disais!
Yves Bodard
Rédigé par : Bodard | 24/08/2010 à 08:53
Sincères condoléances à ses proches et ses amis et profonds regrets de ne pas avoir rencontré "en vrai" ce grand monsieur.
Rédigé par : Michtotoro | 24/08/2010 à 08:31
Les mots vont me manquer...
Je n'ai partagé que 3 jours de la vie d'Yves, suite à la 1ère réunion des Zatstrouph (ou Zatstoumph selon qu'on lise Achille ou Steph).
3 jours et 2 nuits passées à parler, à nous livrer (et accessoirement à mettre en terre les plantes qu'il achetait maladivement).
C'est effectivement Gab qui est venu me chercher chez lui, après qu'il m'ait permis de rencontrer les terribles Dom et Steph, en gare des Aubray...
Salut Camarade,
Hasta la victoria Siempré
Stéphane
Et merci à Mourad (merci de me tenir au courant de la date de ses obsèques afin que je me libère de Lille pour rejoindre Orléans)
Rédigé par : net en feu | 24/08/2010 à 01:36
Superbe photo qui me fait revivre ce RV que j'avais eu chez lui avec notre Lillois. Que de la passion entre nous pleine de choses différentes et si complémentaires. Je garde les poèmes qu'il m'avait offert.
Bises à tous
Rédigé par : GABRIELLE | 23/08/2010 à 23:17
Ami Urwan...Yves,
... permettez par votre plume, dans votre "chant d'espoir":
"(...) Ames émerveillées des hommes éternisés au grisou du bonheur
Ames sereines et pures des hommes tranquillisés au travail fort et fier
Ames ardentes et fières des hommes humanisés au parfum d'espérance(...)Nous éclabousserons de comètes d'argent en firmaments humains...Nous règlerons les comptes enfin au vieux monde sans lendemain (...) "
Merci, Ami...et à bientôt...à tout de suite...en chaque instant...
Rédigé par : Brigitte Shekhinah | 23/08/2010 à 21:54
Adieu Mon Ami et Poète Yves.
Les mots me manquent...
Rédigé par : Eveline - CRDP | 23/08/2010 à 19:54
Toutes mes pensées à sa famille.
Je pense bien sûr à ses coup de gueules mais aussi à ses analyses justes et empreintes d'une réelle humanité.
Ses interventions vont nous manquer mais elles restent encore ici et là sur les blogs et autres sites politiques. Relisons-les en hommage à ce grand militant. Merci à lui, j'ai beaucoup à apprendre à leur relecture.
Rédigé par : BCT | 23/08/2010 à 19:10
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Dans un siècle où l'horreur batit ses records
Parmi les êtres qu'on a pu rencontrer
Sur le seuil d'un grand rêve ou dans des corridors
Au cours d'une vie
De vertes et de pas mures
A se dire quelquefois que l''monde est foutu
Que l'homme est foutu qu'il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S'ouvre sur un jardin d'odeur
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Traversée de voyages au bout de la nuit
A s'dire suffit mais tout de même hantée
Par la mort qui fait l'mort
Et par le temps qui fuit
S'ouvre tout un jardin d'odeurs
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il suffit d'une voix
D'un certain regard pour qu'on voit
Un espoir toujours recommencer
Que l'on croit en l'amour planté sans cesse etreplanté
Dans le cours d'une vie mouvementée
Tout s'pardonne tout se gomme
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme se pardonne
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme ......
Ce sont ces paroles de l' Espérance en l'Homme de Claude NOUGARO (2004) qui me viennent à l'esprit en apprenant la nouvelle du départ de Yves PASCO. Il fait partie de ces "hommes qui s'enracinent en pleine terre et en plein ciel" qui restent gravés dans nos coeurs et nos pensées. Quelle émotion et quel chagrin de perdre cet ami, militant généreux au grand coeur. Sincères condoléances à sa famille et tous ses amis.
Rédigé par : Andrée de SAINTE CROIX | 23/08/2010 à 18:57
Tristesse et larmes pour ce départ d'Yves.
Un personnage discret et toujours simple, une personnalité en somme.
Il nous en faut beaucoup des Yves pour montrer ce qu'est la vie. Car il incarnait la vie à grands yeux ouverts et à langue bien pendue. Il restera dans notre pensée.
Trop de peine pour en dire plus.
Toute mon affection à sa famille et surtout à son fils.
Monique Lemoine
Rédigé par : Monique LEMOINE | 23/08/2010 à 18:50
Triste nouvelle, l'humanité d'Yves mérite tout notre respect. Sincères condoléances à sa famille.
Rédigé par : Alain | 23/08/2010 à 18:26
Il fait don de sa personne à l'absence !
C'est un silence assourdissant qui résonnera dans un moment où nous aurions tous besoin de ses coups de gueules.
Monsieur Pasco, nous ne lâcherons rien en votre mémoire face à cette politique qui a dû vous ronger un peu plus que ce maudit crabe.
Rédigé par : C'est Nabum | 23/08/2010 à 18:15
Pensée émue, ...et muette car parfois les mots ne peuvent pas dire.
Rédigé par : Yves Clément | 23/08/2010 à 18:04
Sincères condoléances à toute sa famille.
Ses messages et Ses pointes d'humours vont me manquer.
ADIEU L'AMI
Rédigé par : Man | 23/08/2010 à 17:48
Tristesse et perte d'un camarade , jamais sectaire : des engueulades féroces,des mails " assassins" nous en avons eu , échangés
Mais yves agissait toujours dans le respect de l' autre et les divergences n' étaient jamais un obstacle a la recherche de convergence
Yves , du fait de sa maladie , savait ce qui était important ou non, essentiel ou non
Continuons a nous inspirer de son attitude
Rédigé par : PETITJEAN DENIS | 23/08/2010 à 17:47
Une très triste nouvelle.
J'ai souvent été en profond désaccord avec Yves Pasco, c'était presque épidermique de mon côté, allez savoir pourquoi. Je ne l'ai pas connu longtemps, jusque quelques mois début 2010.
Mais j'ai immédiatement pu apprécier son style d’écriture, ses phrases percutantes, son humour ravageur, son intelligence d'esprit, sa foi dans ses convictions,…
Il m’a d'ailleurs décoché quelques vannes mémorables, je pense à ‘’Ben Laden , la machine à laver les idées’’, et bien d’autres encore qui m’ont fait beaucoup rire et finalement fait beaucoup de bien.
Yves Pasco reste, je pense, une figure marquante du Forum de Libéorleans, contribuant tout particulièrement à la qualité des idées postées dans ce forum.
Mes condoléances à toute sa famille.
Rédigé par : abdel ben | 23/08/2010 à 17:45
Respect en sa mémoire et condoléances à sa famille.
Rédigé par : zérozaza | 23/08/2010 à 17:14
MERDE!!!!!!!!!
Je t'aime Yves
Sincères condoléances à sa famille
Rédigé par : Hassan Kerim | 23/08/2010 à 17:13
Toutes mes condoléances le splus sincères pour cette homme de conviction et d'engagement.
Rédigé par : Le Grand Christophe | 23/08/2010 à 17:02
moi aussi je suis triste. Tous les joursje guettais ses commentaires sur libé., et j'attendais ses poésies avec impatience. Heureusement que je les ai gardées,je pourrai les relire en pensant à la bonne personne qu'il était.
salut l'artiste !
Rédigé par : zouzou | 23/08/2010 à 16:41
Que ce soit dans le conflit (pour la bonne cause, toujours) ou dans la complicité, Yves Pasco ne cachait pas son drapeau et si on a pu lui reprocher parfois un excès de "vitalité", reconnaissons qu'il a toujours eu le courage d'un partisan debout. Et maintenant, disparu, on a le sentiment bizarre d'être un peu seul, avec un furieux besoin d'aller soudainement en griller une, pour continuer à vivre, à relever la tête, à son exemple.
Rédigé par : dame Lepion | 23/08/2010 à 15:47
Pensées respectueuses et attristées.
Rédigé par : Tryphon | 23/08/2010 à 15:47
C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris cette nouvelle...
Un petit retour en arrière et rappelons nous : http://www.dailymotion.com/video/x6llxa_rassemblement-contre-la-fermeture-d_news
Pour Yves Pasco, notre camarade, notre ami...
Rédigé par : Najib | 23/08/2010 à 15:40
Bouleversé évidemment comme beaucoup je suis... D'autant que les dernières nouvelles d'Yves que j'ai eu étaient pour s'enquérir d'une autre personne dont il était sans nouvelles.
Ainsi était Yves, que je connaissais finalement peu mais qui m'est apparu profondément sncère et humain dans toutes ses actions, tous ses combats.
Un peu comme un maître Jedi, toujours insoumis, les sens en alerte, profondément attachant.
Et quelle présence sur le net ! Un pionnier tout autant qu'un hyperactif : toujours courtois, plein de verve et d'humour. Son esprit militant et potache très lucide et pertinent sur l'actu locale va nous manquer.
Adios Yves. Mes sincères condoléances à ta famille et à tes proches.
Rédigé par : Fansolo | 23/08/2010 à 15:28
Son dernier mail sur ma boîte date du 17...
Je ne suis pas surprise, je sais qu'il allait très mal, mais...
:'(
Je garde le souvenir d'un homme très militant et très humain.
Il avait des gestes spontanés de fraternité et d'amitié qui me manqueront.
Il reste très peu de gens comme lui.
Toutes mes condoléances à tous ceux qui l'ont connu, et plus particulièrement à ceux qui l'aimaient.
Rédigé par : Polyb | 23/08/2010 à 15:02
Paix à son âme.
Rédigé par : 6toiyen | 23/08/2010 à 14:29
Pas souvent d'accord avec lui mais toujours respectueux de son opinion, je me joins volontiers à ceux, de ses proches ou non, qui vont pleurer sa disparition.
C'est toujours un drame de perdre quelqu'un de sa valeur.
Rédigé par : minijack | 23/08/2010 à 14:27
Yves était un militant avec un grand cœur , une bien belle personne .
A l'initiative avec quelques autres de: il faut sauver LibéOrléans ( http://www.libeorleans.fr/libe/2008/08/liborlans-tire.html ), dans la lutte contre la franchise Sarkozy ( franchises "médicales" ) etc ...
Beaucoup de tristesse ce jour . Mes sincères condoléances à sa famille et amis .
Éric Taillandier
Rédigé par : Eric Taillandier | 23/08/2010 à 14:22
Quelle triste nouvelle que celle du décès de notre ami et camarade, Yves Pasco !
Toujours animé par ce sens du combat pour l'HUMAIN, notamment dans l'action contre les franchises médicales, il ne laissait personne indifférent y compris celles et ceux qui ne partageaient pas ses idées, nos idées. Un dure perte pour celles et eux qui veulent changer les choses
Rédigé par : RICOUD Michel | 23/08/2010 à 14:08
je suis allé le voir hier après midi en ayant l'impression que je ne le reverrai pas, la maladie en venait à bout, ce qui ne l'empêchait pas de protester encore une fois après ses "bourreaux de capitalistes" selon ces propres termes: l'hôpital ne pouvait ni le garder ni lui fournir une assistance quotidienne. Il avait quand même le sourire.
Quand j'ai appris la nouvelle ce matin, j'ai prévenu ceux que j'ai pu. que ceux que je n'ai pas prévenu tout de suite veuillent bien m'excuser.
Rédigé par : Dominique LEBRUN, Conseiller Municipal PCF | 23/08/2010 à 14:01