Évasion du preneur d'otage de l'Agglomération d'Orléans
ÉVASION. (Mis à jour à 16h25) Mohamed Djouad, l’homme responsable d’une prise d’otage à l’Agglomération d’Orléans en novembre dernier, s’est évadé jeudi de l'hôpital psychiatrique Daumezon de Fleury-les-Aubrais (Loiret) où il était interné depuis décembre. Un juge d’instruction vient de délivrer un mandat d’arrêt à son encontre. (Lire la suite...)
«Le 3 mars, à 15h30, Monsieur Djouad a demandé à être accompagné aux ateliers thérapeutiques du Petal», explique la direction de l’hôpital dans un communiqué. «Il avait effectué une semaine avant une visite dans cette structure pour prendre connaissance des activités proposées (...) Suite à sa demande, avec l’accord de l’équipe, une soignante de l’unité a accompagné Monsieur Djouad jusqu’au bâtiment du Petal en s’assurant que celui-ci y était bien rentré. En fait, Monsieur Djouad n’a pas été vu par l’animateur de l’atelier musique, ce qui laisse supposer qu’il a fugué à ce moment là, aux environs de 16 Heures».
La direction de l’établissement psychiatrique précise que «l’équipe a immédiatement procédé à des recherches dans l’unité et aux alentours» avant de prévenir le directeur de cabinet de la préfecture, le substitut du procureur de la République et le directeur de l’Agence régionale de santé. «La Direction et le corps médical étaient particulièrement attentifs à ce patient dont les faits avaient été très médiatisés. Il avait d’ailleurs été reçu à plusieurs reprises par le médiateur médical et non médical pour ajuster les conditions de sa prise en charge», insiste-t-elle.
Le 26 novembre dernier, Mohamed Djouad armé d’un pistolet-mitrailleur qui s’est révélé factice, avait pris en otage pendant plus de sept heures, le directeur de la voirie de l’Agglomération d’Orléans. Ce dernier avait été relâché sain et sauf en début de soirée après de longues heures de négociations.
Une expertise psychiatrique d’une célérité remarquable l’avait jugé «schizophrène et paranoïaque» et avait conclu à son «abolition totale de discernement au moment des faits».
Ce vendredi matin, sans doute par peur de représailles, l'hôtel de ville d'Orléans était surprotégé par une grille de sûreté et des policiers municipaux.
Mourad Guichard (avec AFP)
> Sur le même sujet: À Orléans, le militant farfelu pète les plombs




M. Mahmoud
Je ne cherche à rien prouver par un tel ou tel autre prénom, pour avoir à plusieurs reprises suivi les posts de Al Cool, je sais que c'est un nase et que le prénom de l'évadé n'est pas étranger à toutes les questions que nous soumet le nase!
Ceci dit M.Mahmoud je vous dois quedal, j'ai mon opinion sur ce nase, je ne viens pas vous demander de me rendre des comptes sur la votre, d'opinion!
Vous me parlez de racisme, c'est par ma faute que le Fhaine fait autour de 20%, pendant que vous y êtes, vous gênez pas.
J'ai cherché une quelconque signification d'un prénom? OU et QUAND?
Vous me traitez de malhonnête, je vous trouve trop mielleux pour être vrai, si vous voyez ce que je veux dire!!!
PS: je vous rappelle que le sujet ne concerne pas les états d'âme de kenjî, au cas ou!
Rédigé par : kenjî | 10/03/2011 à 21:12
M. Kenji, mon pseudo est simplement mon prénom. Il n'a rien de déshonorant. Je ne vois pas en quoi cela peut vous dérenger. C'est vous qui faites du racisme sur le prénom et puis vous en accusez les autres. Sans vous froisser je demandais seuelement pourquoi vous êtes seul a rechercher la signification d'un prenom et dans quel but. Je n'ose pas penser que vous etes obsedé par le racisme a ce point. Vous faites un procès completement inventé. Je ne trouve pas que c'est honnête.
Rédigé par : Mahmoud | 10/03/2011 à 16:07
Mahmoud
Joli pseudo, suivez Al Cool et vous reviendrez me donner des leçons!
Rédigé par : kenjî | 09/03/2011 à 20:04
M. Kenji, votre insistance sur le prénom de la personne est plus que suspecte. Vous etes le seul ici a invoqué pluisieurs fois le racisme. C'est une provocation typique de la méthode FN pour lancer des débats nauséeux.
Il me semble que vous aimeriez bien allumer le feu mais heureusement ça ne prend pas.
Rédigé par : Mahmoud | 09/03/2011 à 13:24
Al Cool, les nases m'inspirent et j'ai oublié une petite chose.
Vous prétendez que je suis un spécialiste de tout, c'est vrai on n'arrête pas de se rencontrer, étonnant non?
Rédigé par : kenjî | 08/03/2011 à 18:21
Lui qui avait fugué pour assister au procès Chirac... il va pouvoir rentrer du coup :->
Rédigé par : Besoin Pressant | 08/03/2011 à 18:19
Al Cool
Evidemment tout le monde a compris la différence, argumenter avec un texte de loi à l'appui etc...comme un hasard ne vient jamais seul y a que kenjî d'après vous qui n' a rien capté.
En fait y a peut être que kenjî qui ose vous traiter de ce que vous êtes, un nase!
Je me répété, si l’évadé s'appelait Michel, vous nous emmerderiez pas autant sur le statut de détention dont dépend Mohammed!
PS:je n'ai employé qu'une fois le mot nase, ça m'a semblé suffisant!
Rédigé par : kenjî | 08/03/2011 à 18:17
Astringues, comme Bodard, vous rappelez fort à propos que la fonction d'un hôpital est de soigner des personnes, pas de servir de substitut à la police, la justice ou la pénitentiaire.
Sauf que M. Péguilhan rappelle lui aussi fort à propos que la loi de 1990 contient "un article parfaitement liberticide, qui permet d'enfermer sans limite de temps une personne qui a commis un acte délictueux, mais est considérée comme irresponsable et à ce titre non jugeable. Pas de juge, pas d'avocat, seuls des experts qui ne prennent pas de risque."
Patrick a bien compris le hiatus. Et Kenji, le spécialiste en tout, n'hésitera pas à nous expliquer cette contradiction, en parsemant son propos d'une bonne dizaine de "nases".
Rédigé par : Al Cool | 08/03/2011 à 02:05
j'espere qu'on va retrouver ce preneur d'otage rapidement....
Rédigé par : eloie | 07/03/2011 à 11:50
Al Cool, un nase à la recherche d'un statut pour Mohamed!
La différence entre les 2 types d’enfermement est d'une simplicité biblique.
Vos jeux de mots ainsi que vos recherches ne sont là que pour mettre de l'encre tel un poulpe.
Vous inquiétez pas, votre post transpire le racisme , vous pouvez dormir tranquille, du sommeil des nases!
PS: arretez de nous faire des posts qui prennent tout l'écran pour si peu, vous deviendrez un gentil nase!
Rédigé par : kenjî | 07/03/2011 à 09:48
Évadons-nous de ce débat nauséeux où la folie gagnera les rangs.
LA MAIRIE DEVRA ALORS ÉTABLIR UN CORDON SANITAIRE AUTOUR DE "LIBÉ-ORLÉANS" ET SE VERRAIT CONTRAINTE À DEMANDER SA FERMETURE.
Rédigé par : Achille zatstrrouffard | 07/03/2011 à 06:38
Pas si fou le momo ! Il souhaite partager sa folie avec ses congénères...
Mais que fait Sarko avec son kasher et Marine pour le bouter dans les eaux internationales ?
C'est sarkomomo le démago président des gogos de nice à monaco
Perso je pense qu'il se trouve quelque part entre Paris et Marseille. Il n'a donc pas besoin de passeport...
Les gens auraient aimé qu'ils se prenne perpète. Bon c'est vrai il a fait une crise aigüe à force de cotoyer des cas pas seulement à l'argonne mais également dans le petit monde politique orléanais.
Il risquait combien au procès 2 ans ?
Allez revient Momo ! Fais pas le con et assumes tes conneries !
Bon il est tard ou plutôt tôt, un suppo et au dodo ;)
Rédigé par : Sarkoland STORY à Orléans | 07/03/2011 à 02:26
Petite précision (en faveur d'Yves B. mais pas que) : une hospitalisation d'Office (HO) comme celle qu'a vécue Mohammed Jouar est décidée par le Préfet.
Voilà qui met déjà un point barre à certaines élucubrations lues dans les commentaires de ce post.
D'autre part je rejoins YB sur la fonction d'un hôpital psy (rappelons que c'est avant tout un hôpital) : elle est de soigner des personnes qui souffrent de maux, pas de servir de substitut à la police, la justice ou la pénitentiaire. Elle n'a ni les moyens ni les compétences pour assurer de conserver en son lieu des personnes qui souhaitent s'en échapper, sauf malades reconnus dangereux pour leur entourage, ce qui n'était pas le cas de M. Jouar.
J’admets que cette histoire puisse avoir un côté risible (notamment la médiatisation de Minijack) mais n'en omettons pas l'aspect humain, il reste primordial.
Rédigé par : Astringues | 07/03/2011 à 01:24
Bon, on n'y retrouve plus ses petits, il faut être correct dans tous les compartiments, on se fait allumer pour un rien. Autant dire qu'il vaut mieux ne plus s'exprimer.
Alors, interné ? Retenu à dîner ? En rétention ? Arrêté ? Gaulé, mis en examen ? Momentanément stoppé en plein vol ? Immobilisé ? soigné contre son gré ? Incarcéré ? Enfermé ?
C'est vrai qu'on ne peut plus dire par exemple aveugle, mais mal-voyant, handicapé mais en situation de handicap, plus vieux mais senior, plus nase mais kenji, plus con mais mal-comprenant, etc.
Intrigué, j'ai trouvé çà :
http://jdeperson.free.fr/page%20web%2033.htm
" Dans ce cas, on continuera de remarquer que ce qui était auparavant, par la loi de 1838, « abandonné à la discrétion » de « l’ordre préfectoral » seulement du fait du « retrait juridique » (article 64 de 1810), devient maintenant un « principe premier » dans le nouvel «ordre juridique » concrétisé par le 122-1 du nouveau code pénal, dont l’action dite de justice est finalement comparable à celle du préfet auparavant.
Le solde de cette double ambition ne mène habituellement qu'à l'enfermement, peu importe le nom qu'on lui donne. "
...........
" Le vocabulaire de la loi de 1990, fortement médicalisé, invoquant « l’hospitalisation » ne mentionne pas le mot « psychiatrique » : Nous l’avons analysé en d’autres pages, indiquant combien « l’hospitalisation sous contrainte » est aussi bien représentative d’une « contrainte par hospitalisation », d’acception fort large, l’hospitalisation, selon une telle lecture, ne devenant plus la fin recherchée pour soigner, mais un moyen pour contraindre.
En réalité, le fait de ne pas prononcer le mot « psychiatrique », soit pour ne pas en inquiéter l’usager, soit plus radicalement parce que nul ne saurait le définir, permet à l’infini de sanctionner le « pressenti », peut être à l’opposé de ce qui aurait été vraiment souhaité par le Législateur, en certaines lignes encourageantes, lorsqu’il évoque le simple « trouble », la demande spontanée ou le respect des « droits de la personne ». "
Ces petits extraits d'une longue analyse sont parlants : on n'est pas près d'arrêter de jouer sur et avec les mots.
Quoi qu'il en soit, un non-lieu de fait obtenu par cette voie non judiciaire ne peut que réjouir l'employeur de l'interné. Euh non, de l'hospitalisé. Euh non, du sujet de soins (on va encore dire que là aussi c'est discriminant...).
Rédigé par : Al Cool | 06/03/2011 à 22:34
Je ne pensais pas avoir ouvert un tel débat mais il n'y a pas d'internés à l'hopital(dans les camps,il y en a eu),il y a des patients qui peuvent dans le cas de l'hospitalisation d'office présentés un caractère de dangerosité constatée mé-di-ca-le-ment....Je le redis quitte à froisser les susceptibilités,le personel Soignant n'a pas la même formation et fonction que le maton.J'avais par précaution posé le cadre général du statut du malade et mes propos n'ont pas été reçu comme tel.Pour le carton,je vais être bon joueur;il passe au jaune.Pas d'expulsion et Mourad reste sur le terrain de jeu.Je l'embrasse d'ailleurs!!
Pour le reste,le manque de moyens,la psychiatrisation de toutes les pathologies "dites" sociales,le débat reste ouvert.Un petit post et tout s'enflamme. Que de susceptibilités sur cet espace,serions nous devenus tous fous!J'ai l'impression qu'à chaque fois que je commente,je suis dans la prise de risque permanente.On peut causer ou pas?
Pour Kenji,il est libre d'apprécier ou de déprécier,de me pourrir ou de m'emboiter le pas....tant qu'il reste respectueux et qu'il argumente,il a toute sa place comme...kenjo.
Petit clin d'oeil.
Et cette retraite M.Peguilhan?
Yves Bodard
Rédigé par : Bodard | 06/03/2011 à 19:12
Le débat est intéressant. Y a-t-il en effet, selon un parallélisme de formes avec le système judiciaire, une procédure d'appel permettant de se dégager du pouvoir médical ? Car là il semble avoir été jugé "passé à l'ouest" selon une procédure expéditive, non ? Il est vrai que Kenjo, expédidif lui-même, n'y voit qu'une simple distinction entre deux statuts qui n'ont rien à voir... et pourtant, le résultat est là. Aux belles heures de l'URSS, il suffisait d'être déclaré dérangé pour être interné sans pour autant passer jugement. Kenjo lui, est resté à l'est ?
Rédigé par : Al Cool | 06/03/2011 à 18:55
L'observation de M.Peguilhan relance le débat lancé par Yves Bodard : dans l'internement d'office, l'hôpital est-il un d'abord un lieu de soins ou d'enfermement ? parce qu'en toutes hypothèses, ce sont des médecins qui décident de l'état de conscience et de discernement de la personne, aux fins de la mettre en prison, à l'hôpital ou en liberté.
Normalement, un médecin est chargé de l'aide et du soin. Mais ici, il a une autre fonction, régulatrice de l'ordre social. Et si je suis le raisonnement de M.Peguilhan, contrairement aux décisions de magistrats, cette fonction s'exerce sans contrôle.
Même pas celui du collectif constitué par l'équipe thérapeutique ?
Rédigé par : Patrick | 06/03/2011 à 15:06
LAPSUS: pas la Loi de 1848 mais, bien sûr, la Loi de 1838.
Rédigé par : PEGUILHAN | 06/03/2011 à 12:12
A propos de "l'évasion" du preneur d'otage, il faut peut-être rappeler ce qu'est l'article 122-1 de la Loi de 1990 (celui-ci remplace le fameux article 64 de la Loi de 1848): c'est un article parfaitement liberticide, qui permet d'enfermer sans limite dans le temps une personne qui a commis un acte délictueux, mais est considérée comme irresponsable et à ce titre non jugeable. Pas de juge, pas d'avocat, seuls des experts qui ne prennent pas de risque. M. DJOUAD a sans doute eu raison de prendre la tangente.
Rédigé par : PEGUILHAN | 06/03/2011 à 11:43
kenjo
Il n'a jamais été question de minimiser la dangerosité de l'évadé, une simple distinction entre deux statuts de détention qui n'ont rien à voir les unes avec les autres.
Rédigé par : kenjî | 06/03/2011 à 10:14
Al Cool
je vous ai déjà averti, le mot nase est allègrement utilisé par kenjî, imité jamais égalé.
Vous êtes un(e) menteur(se), c'est vrai que je suis un footeux, vous c'est le mensonge votre sport quotidien, rien d'étonnant de la part d'un nase!
Rédigé par : kenjî | 06/03/2011 à 10:12
Après l'avoir copieusement insulté, kenji fayote maintenant auprès de Bodard et le félicite du carton infligé à Mourad Guichard. Il n'est pas à une incohérence près. Il est vrai que ce footeux est un nase habitué du carton rouge... Il passe facilement d'un extrême à l'autre, comme l'interné d'office sujet de l'article. Il irait même jusqu'à nous démontrer qu'une rétention administrative c'est très différent d'un internement, et qu'on ne s'en évade pas de la même manière...
Rédigé par : Al Cool | 06/03/2011 à 02:01
kenji, bodard, franchement, restons sur le fond de l'affaire. Un type s'est fait la male d'un hôpital psychiatrique ...Il se trouve qu'il était un preneur d'otages et ami politique intime de la droite municipale actuellement aux affaires à Orléans.
Ça fait 24 heures qu'il s'est tiré et il n'a toujours pas été rattrapé.
- soit il s'est barré à l'étranger, mais ou était planqué son passeport ?
- soit il est toujours dans un délire paranoïaque, et je dirais que Sophie, actuellement, elle ne doit pas bien dormir.
Minijack est étrangement silencieux, est-il encore parmi nous ? Est-ce que quelqu'un aurait le numéro de Sophie faut qu'on se renseigne comme même si par malheur...?
Rédigé par : kenjo | 06/03/2011 à 01:33
@ Bodard.
L'intéressé était interné d'office. C'est cela que vous appelez "accueilli" et "hébergé"?
Évitons de titiller le postérieur des insectes volants sur une telle évidence... Merci.
Rédigé par : M.Gd | 06/03/2011 à 00:25
Yves Bodard, je vous rejoints
C'est vrai qu'il y a une nuance entre un évadé d'un hopital et celui d'une prison. On ne peut pas avoir la même considération pour les deux types d'enfermement ou d'évasion, dans un cas l'un a commis un délit, dans l'autre il s'agit d'un malade, d'ou je crois votre carton rouge(plutot sympa).
A Al Cool
Un nase qui vient nous donner des leçons de confusion ou pas, un comble!
Rédigé par : kenjî | 05/03/2011 à 17:46
@ Jacqueline Maillan
Dans votre comédie de boulevard, le personnage de Charles Eric porte-t-il un costume trois pièces ?
Rédigé par : Patrick | 05/03/2011 à 15:33
@ Yves Bodard
Si l'HP n'est pas un lieu de détention mais de soins il peut néanmoins être un espace d'enfermement puisque certains patients y sont présents contre leur gré, par décision administrative ou judiciaire. Ce qui était le cas de Mohamed Djouad. Dans ces conditions je ne vois pas en quoi le terme "évasion" qui n'est pas réservé aux personnes incarcérées justifie de votre part un carton rouge.
Rédigé par : Patrick | 05/03/2011 à 13:08
Désolé, Yves Bodard, mais le carton rouge c'est pour vous : en jouant sur les mots, vous vous faites probablement plaisir, mais ignorez délibérément "enfermement" et "internement". Ce n'est pas parce que la pensée est libre que le salmigondis doit être incohérent. Ne mettez pas du politiquement correct partout. C'est en fonctionnant comme ça que la vidéo-surveillance nous revient sous forme de vidéo-protection (et il y a d'autres exemples). "Evadez"-vous de vos conceptions rigides.
Rédigé par : Al Cool | 05/03/2011 à 12:21
- Ah flûte Mamina ! Et même crotte à la fin !
(RIRES)
Sachez que mon ami Serge vient d'évoquer la situation en haut lieu : ses amis du Chêne prévoient de faire intervenir SUPER-MAM !
(RIRES)
Rédigé par : Jacqueline Maillan | 05/03/2011 à 10:49
@Yves : reconnaissez quand même que ce "fugueur" met en émoi la mairie presque autant qu'un "blogueur" puisqu'elle n'a rien trouvé de mieux à faire qu'à renforcer la sécurité à ses abords.
On imagine d'ailleurs bien une pièce de théatre façon comédie de boulevard hier soir.
Une dame respectable assise dans un canapé cuir face à la scène, tasse de thé dans une main tremblante tandis qu'un grand dadais genre Claude Rich dans Oscar fait les 100 pas en se rongeant les ongles : "Y'a d'la Jouad"
- Mais voyons Charles-Eric : c'est affreux ! Faites quelque chose ! Ce dangereux schizophrène dans la nature qui va venir nous zigouiller... Et vous qui ne faites rien !!
- Calmez-vous Mamina : Florent m'assure qu'il contrôle la situation !
- Mais enfin diantre Charles-Eric ! Comment pouvez-vous encore faire confiance à Florent ? Vous n'êtes pas sans meconnaître ses amitiés ancestrales avec ce dangereux psychopathe ! Pourquoi ne pas faire appel à cet érmite qui avait fait preuve de tant d'efficacité la dernière fois ?
- Comment Mamina, vous ne pensez quand même pas à... Jack ?
Mais Mamina je vous assure que...
DRING
(on sonne à la porte)
- Cachez-vous dans l'armoire !!
UN DOMESTIQUE : Monsieur : une délégation d'éboueurs conduite par M. Jean-Pierre demande à vous parler...
Charles Eric & Mamina (EN CHOEUR) :
- PAS MAINTENANT !!!
Rédigé par : Jacqueline Maillan | 05/03/2011 à 10:34
Profiter d'un atelier musique pour s'offrir une petite fugue, quoi de plus naturel !
Un petit air de liberté, une clef des champs qui atteste qu'il a encore un brin de raison.
Il voulait nous jouer "Lettre à Sophie" et l'animateur musique lui a dit qu'il se trompait de prénom. Alors par désespoir, il s'est enfui.
Le plus embêtant, c'est qu'il va faire remonter les statistiques de la délinquance dans une ville qui grâce aux efforts de son ami sont au plus bas ! C'est la seule fausse note de l'histoire ...
Rédigé par : Achille zatstrrouffard | 05/03/2011 à 10:08
on ne s'évade pas d'un hopital on en sort.la société ne construit pas des hopitaux pour y enfermer des gens mais pour les soigner, les personnels sont recrutés pour cela, à trouver des solutions de compromis on arrive à ce malheureux résultat
Rédigé par : gégé | 05/03/2011 à 10:06
@Yves Bodard: on peut quand même souligner qu'au moins M.Guichard a su corriger la dépêche AFP, qui parle "d'asile psychiatrique" (à la limite si j'avais été eux, j'aurais même mis "asile de fous", autant aller jusqu'au bout de la pensée!!)
Rédigé par : RD | 05/03/2011 à 10:03
Moi, toute cette histoire commence réellement à m'énerver.
J'ai lu les commentaires sur la REP, et sur facebook et je suis choquée que son prénom et ses origines sont à chaque fois dans les com's..
Bouhh en fin de compte lui qui à fait de la politique et c'est engagé pour sa ville et son pays la France est devenu un étrangé...
Il à un gros probléme psychiatrique, il reste quand même un citoyen qui à certainement trop fréquenté les politiciens locaux...
Rédigé par : zouzou | 05/03/2011 à 08:46
On ne s'évade pas d'un hôpital psychiatrique.Ce n'est pas une prison ni un lieu de détention mais un espace qui accueille et héberge des malades et leurs symptomes. On y trouve des patients et certains fuguent parfois.Le personnel est constitué de personnel soignant,éducatif mais il n'y pas de maton à l'hôpital psychiatrique. Après on peut débattre du manque de moyens,des limites de l'enfermement,du fonctionnement asilaire etc.
Carton rouge Mourad: c'est un peu comme si je comparais un journaliste et un blogueur en disant qu'il font le même métier!
Yves Bodard
Rédigé par : Bodard | 05/03/2011 à 01:20
Il va peut-être révéler des choses sur ses missions (c'était qui déjà son employeur ?) que l'expertise psy express-éclair ne lui a pas laissé le temps de dire...?
Rédigé par : Al Cool | 04/03/2011 à 21:09
Formidable ! Enfin un peu d'animation ce W.E.
On va voir Lemaignen sur son vélo poursuivi par Montillot monté sur les épaules de Grouard. Du Tex Avery....
Rédigé par : BCT | 04/03/2011 à 20:41
On se pince!!!!
Et on attend les réactions de l'ami Minijack,si faraud devant la presse au moment de la prise d'otage
et nous faisant une sorte d'éloge du frapadingue en question,maintenant dans la nature!!!!!
Rédigé par : Isabelle | 04/03/2011 à 18:42
Ah quel dommage que les Yves (Pasco, Boisset) ou Alain (Corneau) ne soient plus là : ils nous auraient concocté un petit film intitulé "Vol au dessus d'un nid de faux-culs".
De"Canicule" (où la mairie est transformée en banque) au film original de Milos Forman en passant par Police Python : tout y est ! Orléans c'est LA ville de tous les cinémas !!
Rédigé par : Mangez des pommes ! | 04/03/2011 à 18:10
L'info du jour sur Orléans...
Certains ne doivent pas en mener large !
Rédigé par : Victor | 04/03/2011 à 17:14
Étrange...
Ils étaient nombreux les gens bien informés ou simplement au fait des petits secrets entre amis, à penser que l'homme n'aurait pas à connaître les joies de la prison.
Il a eu traitement de faveur et le voilà maintenant dans la nature. Traitement de faveur ou faveur sans mauvais traitement.
Quelque chose m'échappe ...
Rédigé par : Achille zatstrrouffard | 04/03/2011 à 17:03
Préparez les caméras et sortez les peignes pour Messieurs Grouard, Lemaignen et Montillot : l'UMP et le Nouveau Centre vont enfin pouvoir commencer la campagne des cantonales... en ne parlant surtout pas de notre quotidien !
Rédigé par : l'affreux Jojo | 04/03/2011 à 16:40
Quelqu'un a t-il pensé à passer un coup de fil à Sophie, j'ai perdu son numéro...
Rédigé par : Nico | 04/03/2011 à 16:02
«schizophrène et paranoïaque» Tu parles! PLus de place en taule... Hop! En asile psychiatrique... Fallait-il encore y penser.
Rédigé par : Roland | 04/03/2011 à 16:01
Peut-être se sera t-il rendu en convalescence chez minijack ?
Rédigé par : Nico | 04/03/2011 à 15:55
Tu parles charles d'une "abolition totale de discernement au moment des faits" !
Voila un bonhomme qu'il aurait fallu transférer dans la cellule mexicaine de florence cassez : elle serait déjà de retour en france ! Plus efficace qu'un poids sauteur du Mexique ou un gland tombé du chêne...
Rédigé par : CEL-avis | 04/03/2011 à 15:48